Petite pièce comique de Molière
Création février 2023 pour le « Théâtre avec 16 bâtons » : Les Mercredis Soirs de l’Arbre à Ornacieux-Balbins. Avec le soutien du Département de l’Isère, en partenariat avec la mairie et les écoles d’Ornacieux-Balbins, communes de Charavines et St-Siméon-de-Bressieux, collège Alexandre Fleming à Sassenage, Lycée International de Palaiseau-Paris-Saclay (91), Centre de gérontologie Les Abondances à Boulogne-Billancourt (92), Festival Ticket-Culture de la communauté de communes Bièvre-Est, école de Flachères, collège Plan Menu de Coublevie, L’Autre Main à Revel-Tourdan, Village en fête à Val-de-Virieu, Les Mercredis Soirs de l’Arbre à St-Barthélémy (38), collège Joseph Bédier au Grand Serre (26).
Vous cherchez un remède à la mélancolie ? Molière vous le livre 3 en 1 : le théâtre ! le rire ! l’amour !
« Ah ! l’étrange chose que la vie !… » Sganarelle, père tyrannique, veut garder « son bien et sa fille » pour lui. Sa servante, Lisette, encourage alors sa fille à jouer la malade, pour faire intervenir un médecin bien particulier…
Jeu > Jeanne Guillon, Aurélien Delsaux
Mise en scène et création poupée > Aurélien Delsaux
Création lumière > Dimitri Carret
Durée > 1h.
Public > ados et adultes
Jauge > 108 spectateurs
Le spectacle est proposé soit en version « salle équipée » avec une création lumière adaptée à votre lieu, soit en version « tout-terrain », techniquement autonome.
Documents
> Dossier artistique
> Fiche technique
Autour du spectacle
> Présentation d’extraits du spectacle (1 ou 2 poèmes) dans des lieux de vie (tout public)
> Apprentissage collectif d’une partie du poème
Contact presse et diffusion > Lilas Bousquet 07 60 22 67 71 / cie@l-arbre.fr
« Un spectacle éblouissant ! » Le Dauphiné Libéré.
« Hier soir, nous n’avons pas pris le temps de vous dire la joie que vous nous avez communiquée, à tel point, que Molière de Pézenas était là. Bravo pour votre travail enthousiaste et total. Un quatuor ‘ravi' » (message de spectateurs)
Crédit : VPL photographie.
L’Amour Médecin est la première création de la compagnie L’Arbre où le dispositif du théâtre avec 16 bâtons est utilisé dans sa forme de « ring » : 108 spectatrices et spectateurs sont répartis sur les 4 côtés du carré dans lequel on joue. Cela oblige à un jeu en perpétuel mouvement – d’autant que nous interprétons les 10 personnages, sans costume ni décor. Le texte, et nos présences pour l’incarner, dans des lumières en contre-plongée comme si on avait posé des bougies au sol – c’est tout le spectacle. On revient à la source du théâtre. Le public assiste à un véritable tourbillon d’énergie, presque à un rite de possession – ce qui correspond très bien au coeur de la pièce : une jeune fille reprend vie grâce à l’amour, retrouve la parole et son corps, et toute la comédie prend possession des imaginations malades, et la vie se déploie, apportant liberté et joie. Le théâtre redevient une petite célébration, une vraie fête populaire.
Crédit : Martine Crasez